Le coordonnateur du Forum Civil, Birahim Seck, a lancé une interpellation directe au président Bassirou Diomaye Faye, pointant un sérieux déficit de lisibilité, de prévisibilité et de redevabilité dans la gestion actuelle des affaires publiques.
Dans une publication sur le réseau social X (anciennement Twitter), le militant de la société civile a mis en lumière quatre points critiques :
- la gestion des emprunts,
- les dépenses fiscales,
- les marchés publics,
- et les rapports budgétaires dans la mise en œuvre des politiques publiques, aussi bien au niveau global que sectoriel.
Pour Birahim Seck, ces zones d’ombre sont en décalage avec les promesses de transparence et de rupture portées par le nouveau régime. Il appelle à un sursaut immédiat pour garantir une gouvernance conforme aux exigences de reddition des comptes et de bonne gestion des ressources publiques.
